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LA LISTE DE LA MATINALE

On ne sait pas si les plateformes modulent leur offre en fonction de la durée des nuits dans l’hémisphère Nord. L’abondance de l’offre de la semaine tendrait à le démontrer. De l’humour à la fois banal et étrange de Tim Robinson aux interrogations métaphysiques de Vince Gilligan, il y a de quoi nourrir d’interminables insomnies.

« The Chair Company » : une « cringe comedy » à la bizarrerie jubilatoire

Entouré de sa femme et de ses deux enfants qu’il adore, Ron pourrait mener une vie parfaitement normale et épanouie dans la petite ville de l’Ohio où il travaille pour un promoteur immobilier. Si ce n’est ce caractère irascible, cet esprit étroit et cet ego démesuré qui viennent systématiquement se placer entre lui et le bonheur.

C’est ainsi qu’un incident gênant, mais anodin – il se casse la figure sur scène lors d’une présentation à cause d’une chaise défectueuse –, le conduit sur la piste du fabricant des chaises en question et, de fil en aiguille, tout au bord de la crise de nerfs. Elucider le mystère de la chaise cassée devient une obsession propre à nourrir une paranoïa dont on découvre, au fil des épisodes, qu’elle n’est peut-être pas tout à fait infondée.

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11 commentaires

  1. Marie Y. Durand le

    Les interrogations métaphysiques de Vince Gilligan m’intriguent beaucoup. Je ne connais pas son travail, quelqu’un peut m’en dire plus ?

  2. Antoine Robert le

    Intéressant cet écho entre l’humour absurde et les questionnements existentiels. La crise de nerfs de Ron semble bien plus que superficielle.

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