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LETTRE DE SHIZUOKA
« Quand je vous vois jouer, je vois le Stade toulousain. » Emile Ntamack ne cache pas sa satisfaction. Les 56 petits joueurs de rugby japonais, dont quatre filles, ayant participé au stage organisé fin août dans le verdoyant centre de loisirs Tsumagoi de la préfecture de Shizuoka (centre du Japon), ont assuré.
Pendant trois jours, bravant la chaleur pesante, ils ont appliqué avec sérieux et enthousiasme les principes transmis par l’ancien international français et ses acolytes, Daniel Andry et Yoann Faure, tous représentants de l’Académie du Stade toulousain qui propose des stages en France et à l’international.
Il s’agissait de la deuxième édition de ce « camp » coorganisé par l’équipe de League One (le Top 14 japonais) des Shizuoka Blue Revs. « Il y a plus de moyens et plus de motivation que l’année dernière. Il n’y avait que trente-six enfants en 2024. 66 % sont revenus », apprécie Daniel Andry, qui s’occupe en temps normal des équipes de jeunes féminines de Toulouse. « Les Blue Revs veulent maintenant que l’on vienne deux fois par an », glisse Yoann Faure, directeur sportif de l’Association Stade toulousain, l’école du rugby du club.
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9 commentaires
C’est intéressant de voir des clubs français comme le Stade Toulousain partager leur expertise à l’international, cela renforce les liens du rugby mondial.
J’espère que cela inspirera d’autres clubs à faire de même dans d’autres pays.
Effectivement, c’est une bonne initiative qui permet à des jeunes joueurs d’apprendre des techniques différentes.
Quelle belle initiative que ce stage à Shizuoka! L’enthousiasme des jeunes joueurs est palpable, et c’est formidable de voir la France contribuer à leur développement.
Oui, et la participation croissante montre que le projet séduit de plus en plus.
Intéressant, mais j’aurais aimé savoir quels aspects techniques precisely ont été travaillés durant ce stage.
Comme la défense en bloc et la gestion de l’espace, selon les témoignages des participants.
Un échange culturel et sportif bénéfique pour les deux parties. Les stagiaires japonais doivent beaucoup retirer de cette expérience.
Les entraîneurs français y trouvent aussi une satisfaction certaine, semble-t-il.