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Hind Rajab, née le 3 mai 2018 à Gaza, est donc âgée de 5 ans le 29 janvier 2024. Ce matin-là, l’oncle chez qui elle réside à Tel Al-Hawa, au sud-ouest de la ville de Gaza, décide de fuir avec sa famille les bombardements israéliens de plus en plus intenses sur leur quartier déjà dévasté.
L’oncle et la tante de Hind, ainsi que quatre de ses cousins, s’entassent avec elle dans une Kia noire. Leur intention est de fuir vers le Sud et le corridor de Netzarim, cette trouée que l’armée israélienne a percée au sud de la ville de Gaza. Mais un amas de ruines bloque la route, forçant l’oncle de Hind à rouler vers le Nord. Il ignore alors que l’armée israélienne vient d’émettre un ordre d’évacuation enjoignant les habitants de Tel Al-Hawa de fuir vers le Sud.
De tels « ordres » permettent aux envahisseurs de dégager leur responsabilité dans la mort des civils qui ne les auraient pas respectés. La propagande israélienne présente même ces ultimatums comme un geste « humanitaire » sans précédent, alors que les « blocs » à évacuer n’ont aucune réalité sur le terrain, surtout quand ce terrain est parsemé de décombres.
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12 commentaires
Pourquoi les enfants paient-ils toujours le prix fort dans ces conflits ? Ce film semble répondre en partie à cette question.
C’est une question qui devrait nous todos h sucher davantage.
La manière dont les enfants sont victimes des conflits est toujours bouleversante. Ce film semble en donner un témoignage direct.
C’est un rappel que les guerres ne touchent pas que les soldats.
Ce film montre bien comment les familles Tentent de fuir des situations de plus en plus intenses. Un récit qui ne laisse pas indifférent.
Un documentaire poignant qui devrait interpeller ceux qui minimisent les souffrances des civils dans cette guerre.
Tout à fait d’accord, il est important de ne pas détourner le regard.
Ce film met en lumière la réalité cruelle de la guerre à Gaza. L’histoire de Hind Rajab est un exemple tragique des conséquences des conflits sur les innocents.
Oui, c’est une réalité souvent oubliée derrière les titres des journaux.
Espérons que cette histoire sensibilisera davantage de personnes.
Un sujet difficile à aborder, mais nécessaire pour comprendre l’ampleur des destructions à Gaza.
L’information est essentielle, même quand elle est douloureuse.