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Dans les films policiers, les enquêteurs cherchant à remonter la piste d’un criminel punaisent au mur des photographies, des croquis, des preuves pour mieux cerner son profil. Dans l’ordinateur de Superpoze, c’est un peu pareil. A l’écran, une longue page accumule toutes sortes d’éléments : notes écrites, photos, enregistrements sonores au dictaphone, morceaux inspirants… Un tableau d’idées ayant stimulé sa créativité au cours de la composition de son quatrième album, Siècle, sorti le 3 octobre.

Debout dans son studio du 20e arrondissement de Paris, proche du parc des Buttes-Chaumont, il nous présente les machines utilisées pour enregistrer ce disque, qu’il voit comme la rencontre entre le travail électronique de ses débuts et les évolutions plus récentes autour des harmonies et des instruments acoustiques.

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9 commentaires

  1. Camille T. Robert le

    Superpoze a clairement évolué depuis ses débuts. Cet album pourrait-elle marquer un tournant définitif vers un style plus hybride ?

  2. Antoine Moreau le

    La musique électronique et les instruments acoustiques peuvent parfois sembler opposés, mais ici, la fusion semble réussie. Les instruments à cordes apportent une dimension organique qui équilibre la froideur des machines. Bravo !

  3. Antoine Martin le

    Un mélange passionnant entre technologie et tradition musicale. Comment Superpoze a-t-il réussi à équilibrer ces deux univers si distincts ?

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