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D’Edimbourg à Rio, en passant par Sydney, les festivités ont commencé ou se préparent
Dès lundi soir, des « Vikings » des îles Shetland, portant haches et boucliers, et des joueurs de cornemuse en kilt ont donné le coup d’envoi des célébrations du Nouvel An écossais à Edimbourg, lors d’une procession aux flambeaux dans la vieille ville médiévale.
Dans l’autoproclamée « capitale mondiale du Nouvel An », Sydney, les préparatifs des festivités ont été assombris par l’attentat antisémite de la mi-décembre sur une plage emblématique de la métropole australienne, qui a fait 15 morts. Une minute de silence sera observée mercredi à 23 heures, heure locale (13 heures à Paris), et le célèbre pont du port sera illuminé de blanc, symbole de paix. Plusieurs centaines de milliers de personnes, encadrées par un dispositif de sécurité renforcé, sont attendues pour assister, à minuit pile, à un gigantesque feu d’artifice.
A Rio de Janeiro, au Brésil, la « plus grande célébration du Nouvel An » − dûment reconnue par le Livre Guiness des records − s’annonce grandiose, avec douze minutes de feux d’artifice et 1 200 drones pour illuminer le ciel. Treize scènes ont été installées pour des concerts gratuits dans toute la ville, dont trois sur la célèbre plage de Copacabana, où sont attendues 2,5 millions de personnes.
10 commentaires
Quelle manière intrigante de célébrer le Nouvel An avec des Vikings aux Shetland et des feux d’artifice à Rio !
En effet, chaque culture a sa propre façon de marquer le début d’une nouvelle année.
Les Français devraient s’inspirer du respect et de la sécurité déployés à Sydney pour leurs propres festivités.
Un bon point, surtout après les tristes événements de décembre.
Personnellement, je préférerais une célébration plus sobre, sans l’excès de bruit et de lumière.
Chacun a ses préférences, mais ces spectacles ont leur propre magie.
L’idée d’illuminer un pont en blanc pour symboliser la paix est touchante et universaliste.
Cela rappelle la célèbre tour Eiffel illuminée aux couleurs du drapeau israélien après les attentats.
Rio de Janeiro ne fait pas les choses à moitié avec ses 1 200 drones pour le spectacle.
Les Brésiliens savent comment transformer une simple célébration en événement spectaculaire.