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C’est un pas de côté, une échappée qui s’ouvre sur des horizons à la fois fertiles et désertiques, à la croisée des arts et des sciences. En l’occurrence, quand l’œuvre d’un jeune peintre, Silvère Jarrosson, s’inspire des processus de création des formes de la nature.
Huit de ses toiles sont présentées dans la Grande Galerie de l’évolution, à Paris. Elles viennent clore l’exposition « Déserts » du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), prolongée jusqu’au 19 avril 2026. Ou comment l’art et la science, en dialoguant, en se nourrissant l’un de l’autre, « permettent de toucher des publics pas nécessairement intéressés par la science », a souligné Véronique Roy, chargée de mission arts et science au MNHN, lors d’une table ronde, le 13 octobre.
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10 commentaires
L’art et la science, une combinaison fascinante qui attire des publics variés. Ça me donne envie d’aller voir l’exposition «Déserts» à Paris.
Un artiste qui fusionne les deux domaines, c’est rare et précieux. Dommage que ce soit seulement jusqu’en 2026.
Un exemple de plus de la synergie entre art et science. Espérons que cela pourra inspirer d’autres collaborations.
Le MNHN utilise l’art pour rendre la science accessible. Une approche intelligente pour toucher plus de monde.
Intéressant de voir comment l’art influence la perception des sciences naturelles. Ça ouvre le débat.
Un danseur devenu peintre, son parcours est aussi inspirant que ses œuvres. Mais comment l’art peut-il vraiment expliquer les processus scientifiques?
Je me demande comment les toiles sont exposées dans la Grande Galerie. L’ambiance doit être particulière.
Les œuvres de Silvère Jarrosson semblent capturer la beauté des déserts. Cela doit être une expérience immersive.
Toucher des publics non scientifiques, c’est un vrai défi. L’art semble être une clé efficace.
8 toiles seulement? J’espère qu’il y aura une prochaine exposition pour en voir davantage.