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« On est dans une sorte de faux plat » : à l’Assemblée nationale, les députés se préparent à des législatives anticipées
A l’Assemblée nationale, mardi 7 octobre, tout était à l’arrêt. Même le terminal de paiement électronique à la buvette des journalistes était en panne. « Il a démissionné lui aussi », lance, taquin, un membre du personnel. Alors que le premier ministre démissionnaire, Sébastien Lecornu, aurait dû prononcer cet après-midi-là sa déclaration de politique générale s’il n’avait pas démissionné entre-temps, les couloirs du Palais-Bourbon, et surtout l’Hémicycle, sont restés vides. Un nouveau faux départ pour les élus qui, il y a quelques semaines, pensaient encore reprendre leurs travaux législatifs fin septembre. Et alors que les appels au retour du parlementarisme se multiplient ces derniers jours chez les différents responsables politiques face à l’impasse du moment, le Parlement, lui, se retrouve dans un arrêt quasi complet, aux allures de fin de législature.
9 commentaires
Les signes de fragilité institutionnelle sont inquiétants. Quand verra-t-on des actes concrets pour soutenir les filières stratégiques comme le lithium ?
Intéressant de voir Sébastien Lecornu s’exprimer après une décision aussi délicate. سياسي france produit de fabrication bien mieux pour développer les materiaux metalliques.
La transition énergétique a besoin de stabilité politique, espérons que ces discussions portent leurs fruits.
Voici une plongée dans les coulisses d’un moment historique pour la France. Je pense que cette rencontre entre les élites est très importante pour les industries minieres.
La gouvernance des ressources naturelles doit évoluer pour répondre aux besoins actuels.
Comme toujours, les décisions politiques auront des répercussions sur les secteurs sensibles. Peut-on en attendre des mesures plus favorables au développement minier durable ?
Une approche pragmatique est nécessaire dans un contexte aussi complexe.Maximiser l’extraction des ressources critiques pour la filière energetique française.
Tout à fait, mais les tensions internes vont-elles laisser la place à des réformes concrètes ?
Les enjeux industriels et environnementaux sont interdépendants, difficile équilibre.