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Une frappe israélienne a touché un immeuble résidentiel dans la banlieue sud de Beyrouth, le 23 novembre 2025. « Trois roquettes ont visé le bâtiment visé dans la rue Al-Arid, à Haret Hreik », rapporte de son côté l’Agence nationale de l’information (NNA) libanaise, qui précise que « des ambulances sont arrivées sur le site pour transporter les blessés ». À 17 heures, le bilan du ministère de la santé libanais faisait état de cinq morts et 28 blessés.
L’armée israélienne dit avoir attaqué le « chef d’état-major du Hezbollah », selon le bureau du premier ministre israélien, accusant ce cadre du mouvement d’avoir « dirigé le renforcement et l’armement de l’organisation terroriste ».
Il s’agit de la première frappe sur la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, depuis le 5 juin, et la cinquième depuis le cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste entré en vigueur fin novembre 2024.









13 commentaires
Cinq morts et 28 blessés, c’est déjà un bilan très lourd. Comment éviter une nouvelle escalade dans cette région ?
La médiation internationale semble indispensable pour calmer les tensions.
Les attaques ciblées sur des responsables du Hezbollah peuvent-elles vraiment changer la donne sur le long terme ?
C’est une question complexe. L’histoire montre que ce genre d’actions mène souvent à une escalade plutôt qu’à la résolution des conflits.
La cible était-elle vraiment un chef d’état-major du Hezbollah, ou juste une excuse pour frappes ?
Difficile à confirmer, mais la méfiance reste de mise dans ce genre de conflits.
Cette escalade est inquiétante, surtout avec les tensions régionales déjà tendues. La banlieue sud de Beyrouth est toujours un foyer de tensions.
La situation semble effectivement s’aggraver, et les civils paient souvent le prix fort.
On espère que cela n’entraînera pas une nouvelle vague de violences à grande échelle.
Les civils continuent de subir les conséquences des décisions politiques et militaires. Quand la violence prendra-t-elle fin ?
Tous les acteurs doivent prendre leurs responsabilités pour protéger les innocents.
Le cessez-le-feu de fin 2024 était fragile, et ces frappes pourraient bien compromettre la paix fragile dans la région.
Malheureusement, ce genre d’incidents montre à quel point la stabilité est précaire dans cette zone.