Listen to the article
0:00
« Je ne serais pas arrivé là si… » Chaque semaine, « Le Monde » interroge une personnalité sur un moment décisif de son existence. L’historien revient sur l’enfant unique et choyé qu’il fut, puis sur le jeune homme qui s’est émancipé grâce à l’histoire.











9 commentaires
Voilà une interview qui donne envie de lire plus de ses travaux. L’histoire est si souvent un outil pour comprendre le présent.
Intéressant cette façon dont il lie son histoire personnelle à l’histoire nationale. Beaucoup de gens font ce genre de lien ?
Une belle illustration de comment le patrimoine intellectuel peut façonner une identité. L’histoire comme refuge, comme libération ?
J’ai toujours trouvé que les historiens avaient une vision unique de leur pays. Boucheron doit voir la France sous un angle très particulier.
Certes, mais dans cette interview, il montre aussi un attachement profondément personnel.
Le fait qu’il dise ne pas aimer son pays… Mais est-ce qu’il a vraiment dit ça, ou est-ce une déformation médiatique ?
Un sujet passionnant qui illustre bien l’importance de l’histoire dans la construction identitaire. Comment Patrick Boucheron explique-t-il son attachement à la France ?
Il semble que son parcours personnel et intellectuel ait joué un rôle clé. L’éducation aussi, probablement.
Dommage que l’article ne donne pas plus de détails. J’aimerais entendre plus sur comment l’histoire l’a sauver de jeunnesse difficile ?