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Deux acteurs complices. Si Oscar Isaac et Jacob Elordi sont à couteaux tirés dans Frankenstein, nouvelle adaptation par Guillermo del Toro du chef-d’œuvre de Mary Shelley, mis en ligne vendredi 7 novembre sur Netflix, à la ville, l’entente semble de mise entre les comédiens. En ce samedi d’octobre, voilà que le créateur et sa créature se mettent à l’aise à peine arrivés dans la chambre d’un palace parisien. Oscar Isaac (le docteur Victor Frankenstein) ôte ses chaussures quand Jacob Elordi (la créature) défait le bouton de son pantalon avant de glisser une sucette dans sa bouche. Les voilà prêts à décortiquer le dernier bijou du cinéaste mexicain.

Est-ce que, selon vous, « Frankenstein » s’inscrit dans une tendance à la réhabilitation des monstres ?

Oscar Isaac : Il arrive que la créature soit un être bon, et que les humains soient les méchants. Dans Frankenstein, les choses sont plus ambiguës. A mesure que la créature devient plus humaine, Victor devient de plus en plus une créature. Ils sont comme différentes facettes de la même personne.

Jacob Elordi : Le film est plutôt un conte vieux comme le monde, qui nous rappelle quelque chose que nous n’arrivons jamais à retenir : les choses que nous ne comprenons pas ne sont pas nos ennemis.

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