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Il y a quatre ans, la création de la première centrale à fusion nucléaire ne semblait envisagée qu’à l’horizon 2080. Aujourd’hui, chercheurs et investisseurs tablent plutôt sur la prochaine décennie. Comment expliquer que la science ait autant avancé ces dernières années ? Dans ce podcast, David Larousserie, journaliste au service Sciences du « Monde », explique les espoirs que suscite la fusion nucléaire civile.









11 commentaires
Un podcast passionnant sur la fusion nucléaire, mais les délais annoncés me semblent encore optimistes. Cette technologie sera-t-elle vraiment mûre d’ici 2030 ?
L’ITER et les projets privés comme Commonwealth Fusion Systems font reculer les limites. On ne peut pas dire que c’est impossible.
Les promesses de la fusion nucléaire se rapprochent. Si elle devient maîtrisée, cela pourrait révolutionner notre approche de l’énergie propre.
Oui, mais il faudra aussi résoudre les problèmes de gestion des déchets radioactive, même si la fusion en produit moins que la fission.
Je reste sceptique sur les délais avancés. La science évolue, mais les retards historiques dans le nucléaire civil me rendent méfiant.
C’est vrai que les prévisions passées ont souvent été dépassées, mais les techniques de simulation sont bien plus précises aujourd’hui.
Intéressant de voir comment les entreprises privées tempoignes sur ce sujet, alors que la recherche a longtemps été dominée par les organismes publics.
Le secteur privé apporte une certaine agilité, mais sans la collaboration internationale, les progrès seraient plus lents.
La fusion nucléaire civile pourrait-elle vraiment devenir une réalité dès les années 2030 ? Les avancées récentes sont impressionnantes, mais les défis techniques restent immenses.
Les investissements massifs des pays européens et asiatiques montrent leur confiance dans ce projet. C’est encourageant !
Les progrès en technologie des aimants supraconducteurs ont accéléré les choses, mais il faudra encore des années pour valider la sûreté.