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Entre recueillement et espoirs de paix, Noël a aussi été célébré dans les territoires palestiniens, après deux ans d’affrontements. « Cette année, bien sûr, les fêtes sont différentes de toutes les autres. C’était très difficile, car nous avons perdu de nombreux martyrs. Tout le pays est rempli de martyrs, alors il n’y a pas de paix intérieure. Mais nous essayons, car c’est la fête du Christ », explique Samira, une Palestinienne venue prier à l’église de la Sainte-Famille, à Gaza, ce 24 décembre. « Mon seul souhait, c’est la paix », ajoute Ramy Al-Farr sur place.
Un espoir partagé à Bethléem, ville de Cisjordanie occupée et berceau du christianisme, où des centaines de Palestiniens et touristes ont fêté leur premier Noël depuis le début de la guerre à Gaza. Les précédentes festivités avaient été annulées par solidarité avec les Palestiniens du territoire.










10 commentaires
Même dans l’adversité, la tradition religieuse continue de rassembler les gens. Je me demande comment les prochaines années affecteront les célébrations.
Les espoirs de paix semblent rarement aboutir, malheureusement.
Les traditions sont souvent un moyen de résister aux difficultés.
C’est un rappel poignant que les conflits continuent de déchirer des familles et des communautés. La paix doit être une priorité.
Aucun progrès significatif n’a été fait ces dernières années.
Célébrer Noël dans de telles circonstances montre une résilience exceptionnelle. J’espère que 2024 apportera plus de paix à la région.
C’est triste que les festivités aient été perturbées par le conflit, même l’année dernière.
La solidarité et l’espoir sont importants, surtout pendant les fêtes.
Nous devrions tous soutenir les initiatives de paix dans cette région. Noël est censé être une période de joie, pas de douleur.
Malheureusement, la violence persiste, malgré les efforts de certains.