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ARTE.TV – MERCREDI 22 OCTOBRE – À LA DEMANDE
Emettre l’équivalent de 2 tonnes de CO2 par tête et par an en 2050. Tel est l’objectif fixé par l’accord de Paris en décembre 2015 pour contenir le réchauffement climatique à 2 degrés d’ici à la fin du siècle. A la même époque, début 2016, le jeune ingénieur Corentin de Chatelperron part pour un tour du monde à la voile, en quête de technologies low-tech reproductibles dans les pays industrialisés.
Dix ans plus tard, beaucoup doutent du réalisme des objectifs de l’accord de Paris. Et les avis divergent sur les chemins à emprunter. De retour sur la terre ferme, l’ingénieur navigateur a décidé, à 43 ans, de prendre le problème à bras-le-corps et de relever le défi. Rejoint par la designeuse Caroline Pultz, il entend montrer que, moyennant d’importants changements dans la vie de tous les jours, un couple urbain peut vivre agréablement tout en émettant cinq fois moins de CO2 que le Français moyen, évalué en 2023 à 9,3 tonnes par an.
Après Nomade des mers, en 2021, et Biosphère du désert, en 2023, Arte est une fois encore de la partie. « Coco » et « Caro » donnent pour la première fois chair à un des avenirs possibles, dans une série qui devrait ravir les « bobos-écolos », amuser les néophytes et passionner les spécialistes.
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20 commentaires
Un projet qui rappelle l’importance de l’action individuelle et collective.
L’action collective est plus efficace, surtout avec le soutien des pouvoirs publics.
Un reportage qui montre que le changement est possible, même dans un cadre urbain.
Les solutions existent, il faut juste les appliquer massivement.
Oui, l’urbanisation n’est pas une fatalité écologique.
Les technologies low-tech ont-elles vraiment un avenir face à l’industrialisation massive ?
Elles peuvent coexister, mais nécessiteront un changement de modèle économique.
Le projet est ambitieux, mais les mesures concrètes manquent. Comment gèrent-ils leurs déchets, par exemple ?
La gestion des déchets est souvent le point faible des démarches écoresponsables.
Intéressant de voir comment ils adaptent leur quotidien. Les matériaux utilisés sont-ils vraiment durables ?
La durabilité est un critère primordial, mais difficile à garantir sur le long terme.
Entre idéalisme et pragmatisme, ce projet ouvre des pistes de réflexion.
Exactement, il faut concilier les deux pour un futur viable.
Un reportage inspirant, même si les défis restent immenses. Comment concilier confort urbain et impact carbone réduit ?
Les solutions low-tech doivent être accessibles à tous, pas seulement aux militants.
Effectivement, l’équilibre semble fragile. Mais chaque démarche compte, même à petite échelle.
Un bel exemple de sobriété volontaire. Pourrait-on généraliser leur mode de vie sans réduire la qualité de vie ?
La question est complexe, mais nécessaire. L’état doit encourager ces initiatives.
Leur objectif de réduire leur empreinte carbone est louable, mais combien de gens sont prêts à faire ces sacrifices ?
Les sacrifices sont relatifs, mais l’éducation et l’information sont clés.