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A partir de la dislocation d’une famille, le réalisateur islandais Hlynur Palmason confectionne un grand livre d’images et de sensations.
« L’amour qu’il nous reste » : une ode aux petits moments qui fabriquent une vie
Par Salle de presse
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15 commentaires
Un réalisateur qui parvient à transformer une histoire personnelle en une œuvre universelle. Brillant.
Palmason a vraiment un don pour capturer l’émotion brute ou c’est juste moi?
Hlynur Palmason a réussi à créer une œuvre visuelle et émotionnelle puissante. Un chef-d’œuvre moderne.
Un film qui marque l’esprit, assurément.
Un film qui parle de famille, de rupture et de résilience. Des thèmes universels traités avec une grande sensibilité.
C’est ça la force du cinéma, toucher des cordes sensibles communes.
Un film qui nous montre que l’amour ne se mesure pas en grandes actions, mais en moments partagés.
Une vision profondément humaine et juste de nos relations.
Je ne connais pas le réalisateur, mais je suis maintenant très tenté de découvrir son univers cinématographique.
C’est toujours agréable de découvrir de nouveaux talents. En espérant qu’il continue dans cette veine.
Un film qui célèbre la beauté des détails dans nos existences. Une belle réflexion sur ce qui nous unit malgré tout.
L’Islande semble être une source d’inspiration intarissable pour des récits aussi poignants.
Exactement, c’est souvent dans ces petits moments que réside le vrai sens de la vie.
J’ai trouvé ce film particulièrement touchant. Il nous rappelle à quel point les souvenirs simples sont précieux.
Tout à fait d’accord, parfois moins c’est plus.