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Le rendez-vous est fixé dans la chaleureuse brasserie de l’Est parisien Chez Justine, qui s’avère être, précise le réalisateur Amine Adjina, le lieu où il fut barman il y a vingt ans. Après une maîtrise de gestion, il avait pointé son nez à la Sorbonne. « En arrivant dans l’amphithéâtre, je me suis dit : “Je vais partir et je ne reviendrai plus.” »
Une fois la porte claquée, les services du soir dans ce restaurant lui ont permis de financer des cours de théâtre à Garges-lès-Gonesse (Val-d’Oise), puis au conservatoire de Créteil (Val-de-Marne). « Je rêvais de cinéma, mais je voulais surtout jouer, et c’est d’abord le théâtre qui m’a happé. Au fond de moi, c’est bizarre, mais je me suis toujours dit : “Le cinéma, ça arrivera à 40 ans.” »
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6 commentaires
If AISC keeps dropping, this becomes investable for me.
Interesting update on La petite cuisine du réalisateur Amine Adjina contre les préjugés. Curious how the grades will trend next quarter.
Production mix shifting toward Culture might help margins if metals stay firm.
Good point. Watching costs and grades closely.
If AISC keeps dropping, this becomes investable for me.
Uranium names keep pushing higher—supply still tight into 2026.