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« Dans ma bulle ». Meurtri par la détention de son ami Boualem Sansal, l’auteur des « Carnets d’Orient » s’offre une échappée en contant l’aventure de Théodore Lascaris, tête brûlée ayant rêvé, dans le sillage du général Bonaparte, de redessiner la carte de l’Egypte.









15 commentaires
La BD semble aborder des tensions sociales toujours présentes. Espérons qu’elle puisse inspirer des changements.
L’art comme outil de réflexion sur la société.
La quête de liberté et les dilemmes des personnages sonnent si justes, hélas toujours d’actualité.
C’est ce qui fait la force de cette œuvre : parler du passé pour éclairer le présent.
Un récit qui mêle aventure et profondeur historique. J’adresse félicitations à Ferrandez pour son travail.
Totalement d’accord, une œuvre à ne pas manquer.
Dommage que l’auteur ait choisi de fuir, au lieu de faire entendre sa voix en Algérie. Le pays a besoin de ses artistes.
Les restrictions sont parfois trop lourdes à porter pour certains.
Ferrandez a réussi à capturer l’essence de l’Algérie à travers un personnage charismatique.
Son talent pour les récits historiques est indéniable.
Pourquoi ne pas explorer davantage les réalités économiques du pays dans ce récit ? Un angle intéressant.
Cela aurait pu enrichir l’histoire, mais le focus reste sur les individus.
Fascinant d’explorer l’Algérie à travers les yeux d’un personnage comme Théodore Lascaris. La BD semble mêler histoire et tension politique.
Exactement, c’est ce qui rend cette œuvre si captivante.
Et l’aspect historique est vraiment bien documenté.