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L’AVIS DU « MONDE » – À VOIR

Dans le premier film du nom, Predator (John McTiernan, 1987), Arnold Schwarzenegger tombe par mégarde, en pleine jungle guatémaltèque, sur l’un des représentants de cette espèce extraterrestre, échoué là au sortir de son vaisseau, et qui s’avère fort meurtrier. Il y a certes de l’alien dans le Predator, mais il est beaucoup plus anthropomorphe, et presque comique lorsqu’il quitte sa fameuse cape d’invisibilité et montre sa gueule : le bipède reptilien a des yeux de vipère, comme des dreadlocks intégrées à son crâne, et une bouche qui s’apparente à une tente de camping ou à un trampoline dentu.

Dès le premier volet, on saisit qu’il n’est pas seulement une bête de proie insectoïde mais appartient à une civilisation de guerriers, avec sa culture propre, ses codes, aussi rudimentaires puissent-ils paraître. Ses armes et son vaisseau sont fort élaborés et il pratique, semble-t-il, la collection de trophées. Dans les volets suivants, il en est néanmoins resté à un monstre de foire, qu’il s’agissait d’éradiquer sans états d’âme, et qu’on a même confronté aux aliens (Aliens vs Predator, 2004), comme dans une arène romaine.

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9 commentaires

  1. Intéressant de voir comment les créatures de Predator évoluent dans ce nouveau volet. On sent une approche plus humaine et nuancée.

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