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Son premier combat avait ciblé les conditions d’abattage du bétail, sa dernière action fut un don plus qu’important – 350 000 euros – de sa fondation, annoncé en février 2018, pour accélérer la construction d’une maison de retraite pour éléphants de cirque à Bussière-Galant (Haute-Vienne). Entre les deux, un engagement sans faille : une fois annoncé le clap de fin de sa carrière cinématographique, la grande affaire de la vie de Brigitte Bardot, morte dimanche 28 décembre à l’âge de 91 ans, aura été la cause animale.

« Sans les animaux, je me serais suicidée », confiait-elle au Monde en janvier 2018, alors qu’elle venait de publier Larmes de combat (Plon), un livre « testamentaire » portant ses convictions, ses révoltes et ses espérances pour la défense des animaux. Coïncidence ? En 1973, la dernière image du dernier plan de son dernier film, L’Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot Trousse Chemise, la montre une colombe à la main. « J’arrête le cinéma, c’est fini, ce film est le dernier. J’en ai marre ! », annonce-t-elle durant le tournage. S’ensuit une promesse : elle consacrera désormais sa gloire et sa fortune à la défense des animaux. Mais son engagement est bien antérieur.

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