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L’un des plus importants cinéastes et dramaturges iraniens, Bahram Beyzaï, s’est éteint à l’âge de 87 ans aux Etats-Unis, où il habitait depuis des années, ont rapporté, samedi 27 décembre, les médias iraniens.
Au cours d’une longue carrière, ce réalisateur prolifique a signé dix longs-métrages, mis en scène des dizaines de pièces de théâtre et publié de nombreux ouvrages, dont plusieurs consacrés au théâtre iranien. Il « luttait contre un cancer », selon l’agence de presse officielle Irna, qui a rapporté son décès, survenu vendredi, le jour même de son 87e anniversaire.
Le premier vice-président iranien, Mohammad Reza Aref, a déploré la disparition de « l’une des voix les plus profondes de l’histoire contemporaine de l’art iranien » et d’une « figure marquante de la mémoire culturelle » du pays.
Figure majeure de la nouvelle vague du cinéma iranien
La mythologie perse et les récits religieux chiites occupent une place centrale dans l’œuvre de Beyzaï. Censuré à plusieurs reprises en raison d’interprétations politiques de ses œuvres, il s’était installé aux Etats-Unis et y enseignait au département d’études iraniennes de l’université Stanford, en Californie.
Sa famille était de confession bahaïe, une religion abrahamique interdite et persécutée en Iran depuis la Révolution islamique de 1979. Beyzaï n’avait cependant pas de convictions religieuses particulières.
A partir du début des années 1970, il s’est imposé comme l’une des figures majeures de la nouvelle vague du cinéma iranien, notamment avec Averse (1971), L’étranger et le brouillard (1974) et Le Corbeau (1976).
Après la Révolution, Beyzaï a notamment réalisé Bashu, le petit étranger, qui raconte la vie d’un enfant victime de la guerre Iran-Irak (1980-1988). Il a aussi écrit le scénario du Jour fatidique sorti en 1995, considéré comme l’un des films iraniens les plus importants consacrés à la mort de l’Imam Hussein, figure centrale du chiisme.










17 commentaires
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