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Hangars, usines géantes, villas… Pixel après pixel, l’analyse inédite d’images aériennes de notre enquête « Green to Grey » dévoile les causes et l’ampleur de l’artificialisation qui transforme le continent européen.
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Article pertinent, mais un peu alarmiste. Ne peut-on pas concilier urbanisation et préservation des écosystèmes? La technologie doit y contribuer.
La technologie seule ne suffit pas. Il faut aussi une volonté politique forte et des décisions courageuses.
Problème de fond: si on continue à ce rythme, il ne restera presque plus rien de nature en 2050. Dommage, l’espace pour les générations futures se réduit comme une peau de chagrin.
Cela pose aussi la Question du modeleur à long terme. Des choix politiques audacieux sont nécessaires.
Intéressant, mais où sont les données par pays? Certaines régions sont-elles plus touchées que d’autres? On voit clairement que le sud-est s’étend plus vite.
Effectivement, les disparités régionales sont flagrantes. Une analyse par pays serait précieuse.
Ces images satellite montrent une réalité chiffrée. L’extension des zones bétonnées menace directement la biodiversité et les exilés climatiques s’accroissent.
Sans compter les impacts sur les ressources en eau et les sols, déjà sous pression.
Fascinant de voir à quelle vitesse l’Europe se étend urbanisée. On pourrait croire que l’espace est encore abondant, mais les chiffres parlent d’eux-mêmes.
Pourtant, l’Europe est l’un des continents les plus densément artificialisés au monde. Comment peut-on encore parler d’espaces naturels?
Exact, et ce phénomène n’est pas près de s’arrêter. Il est urgent de repenser notre modèle de développement.
Quant à comprendre l’ampleur du phénomène, il est effrayant de constater que la nature pour se régénérer ne dispose plus de temps, avec les assemmentations des villes, même les zones agricoles payent un lourd tribut.
Tout à fait, et cela impacte aussi la qualité des sols. Un vrai cercle vicieux.
Quels sont les secteurs économiques qui contribuent le plus à cette artificialisation? Bâtiment, logistique, ou autre?