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Le premier ministre Sébastien Lecornu a souhaité, samedi 11 octobre, nommer « un gouvernement libre », comprenant des personnalités « avec des sensibilités partisanes, mais pas emprisonnées par les partis », en répétant qu’il n’avait pour lui-même « pas d’agenda » ni « d’autre ambition que de sortir de ce moment » qu’il a jugé « assez pénible pour tout le monde ».

Le premier ministre a dit « comprendre toutes les incompréhensions » quant à sa reconduction à la tête du gouvernement, mais a justifié son retour par l’« urgence à avoir des textes économiques et financiers ». Face à « la difficulté de la mission (…), je n’ai pas le sentiment qu’il y avait beaucoup de candidats », a-t-il ajouté.

Assurant qu’il « respecte » la décision du chef de LR Bruno Retailleau de ne plus participer au gouvernement, il a promis à destination du Parti socialiste que « tous les débats sont possibles » concernant la réforme des retraites, dont le parti à la rose réclame la suspension « complète et immédiate ».

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15 commentaires

  1. Louis P. Bernard le

    Le gouvernement semble chercher des solutions pragmatiques, mais les tensions politiques risquent de compliquer les réformes économiques.

  2. Louis N. Martin le

    Les déclarations de Lecornu montrent une volonté d’apaisement, mais les retards dans les réformes pourraient aggraver la situation financière.

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