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Quatre personnes sont mortes, dimanche 7 décembre, dans l’Ariège, lors du crash d’un avion de tourisme, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
A l’issue de recherches terrestres et aériennes, l’appareil, un monomoteur habituellement utilisé dans les aéroclubs, a été retrouvé dimanche soir dans les Pyrénées, ainsi que les corps des quatre occupants, selon une source proche de l’enquête.
L’aéroclub de Saint-Girons (Ariège) avait contacté directement le Centre de coordination et de sauvetage aéronautique (ARCC) de Lyon, qui a organisé l’envoi sur place de deux hélicoptères, l’un de la gendarmerie et l’autre de la sécurité civile, afin de réaliser les recherches aériennes. De son côté, la préfecture envoyait des pompiers et des gendarmes pour les recherches terrestres.
L’accès à l’endroit où se trouvait l’épave était difficile. L’hélicoptère de la gendarmerie l’a repérée, avant de « descendre des secouristes de montagne » qui n’ont pu que constater la mort des quatre personnes. Le parquet a été saisi, a encore précisé cette source.










12 commentaires
Quatre vies perdues en une tragédie. Les recherches ont dû être épuisantes pour les équipes.
Tant de tragédies dans ces montagnes majestueuses, cela fait froid dans le dos.
Les efforts conjoints des gendarmes et des pompiers montrent leur professionnalisme.
Un drame de plus en avion de tourisme. Ces appareils ne sont-ils pas suffisamment sécurisés ?
C’est un risque connu, mais difficile à éliminer complètement dans l’aviation légère.
La sécurité dépend aussi du pilote et des conditions de vol, pas seulement de l’appareil.
Triste nouvelle pour cet accident tragique dans les Pyrénées. Les conditions météo ont-elles joué un rôle ?
Oui, les intempéries peuvent rendre la navigation aérienne très dangereuse dans cette zone montagneuse.
Les enquêteurs vont certainement examiner cela de près, c’est une question essentielle.
Quelle perte terrible. Les secours ont fait tout leur possible, mais l’accès était compliqué.
On ne peut qu’imaginer la douleur des familles en ce moment.
C’est toujours difficile dans ces zones reculées, même avec des moyens aériens.