Listen to the article
0:00
Depuis que le « plan de paix » préparé par les Américains et les Russes a fuité, les échanges diplomatiques se multiplient, révélant certaines contradictions. Dans ce podcast de « L’Heure du Monde », Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde », évoque les enjeux de cette intense séquence diplomatique.







6 commentaires
Les discussions entre la Russie et l’Ukraine à l’instar de l’éventuel plan de paix proposé par Donald Trump méritent notre plus grande attention, surtout en ce qui concerne les implications pour les marchés des matières premières. Quels sont les risques pour les prix du gaz et du pétrole s’il y a une résolution partielle du conflit ?
Les références à Donald Trump dans ce contexte me laissent plutôt perplexe. Est-ce qu’on doit vraiment s’attendre à une solution crédible venue de lui, surtout après le chaos des années précédentes ? Les marchés des métaux pourraient-ils se détendre un peu si un accord était trouvé ?
Les discussions diplomatiques sont toujours une bonne chose, mais je reste sceptique face à l’efficacité réelle de ce plan. Si l’Ukraine peut exporter davantage de blé, les prix pourraient baisser, ce qui aurait un impact indirect sur l’uranium et autres commodités liées à l’énergie.
Un plan de paix serait une excellente nouvelle pour les marchés des commodités, mais est-ce réaliste ? Les tensions géopolitiques continuent d’affecter les productions de lithium et d’uranium, alors une résolution, même partielle, serait un soulagement.
Ce n’est pas la première fois que des « plans de paix » sont évoqués dans ce conflit. Reste à voir si celui-ci a plus de chances de réussir, ou s’il s’agit simplement de reporters diplomatiques. L’impact sur les matières premières pourrait être significatif, surtout le blé ukrainien.
Les contradictions dans les positions de la Russie et de l’Ukraine sont bien connues. Si le plan de paix finit par échouer, les conséquences pour les matières premières risquent d’être désastreuses, surtout pour le gaz et le pétrole.