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Paris, qui aura du mal à constituer une minorité de blocage contre l’accord de libre-échange, attend des concessions de la Commission, au-delà des clauses de sauvegarde que les Etats-membres ont adoptées, mercredi 19 novembre.
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Paris semble déterminé, mais les autres pays membres pourraient ne pas suivre.
L’UE et le Mercosur ont beaucoup à gagner d’un tel accord, mais les détails juridiques restent cruciaux.
Les clauses environnementales seront un point clé de ces négociations.
La France se trouve dans une position délicate, mais ces négociations pourraient être une opportunité pour renforcer les relations avec le Mercosur.
Exact, mais il faudra des garanties solides pour l’agriculture française.
Les concessions demandées seront-elles suffisantes pour éviter une opposition interne?