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Pour sa 17e édition, la plus célèbre des courses transatlantiques en double à la voile s’offre une nouvelle identité. Baptisée Route du café à sa création en 1993, puis Transat Jacques Vabre en 1995, la désormais nommée Transat Café L’Or devait s’élancer, dimanche 26 octobre, du Havre (Seine-Maritime). Les 74 voiliers engagés – contre 95 il y a deux ans – dans cette épreuve disputée tous les deux ans prendront la mer en direction de Fort-de-France, en Martinique. Mais l’une des classes de bateaux, les Ocean Fifty, vont devancer l’appel : les dix multicoques de 15 m couperont la ligne de départ, samedi 25 octobre, à 16 h 30, en raison des conditions météo difficiles, a annoncé l’organisation vendredi.
Parmi les 148 skippeurs participants, on compte 50 nouveaux venus et 18 femmes, soit 12 % de la flotte – une proportion record. Des marins majoritairement français, même si 14 pays sont représentés. Dimanche, les Ultims (trimarans de 32 mètres) seront les premiers à partir, à 14 heures, suivis des Imoca (monocoques de 18 mètres) à 14 h 30 et enfin les Class40 (monocoques de 12 mètres) à 14 h 45.
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12 commentaires
La Transat Café L’Or continue d’attirer des participants de 14 pays différents. Une véritable vitrine pour la voile mondiale.
Dommage que la participation globale ait baissé par rapport à 2018, mais c’est peut-être temporaire.
C’est impressionnant, cela prouve que la course a une renommée internationale.
Les Ocean Fifty ont un parcours accéléré à cause de la météo. Une stratégie intelligente pour assurer leur sécurité.
Cela doit être frustrant pour ceux qui ont planifié leur départ initial.
Les organisateurs sont toujours à l’affût pour protéger les concurrents et le public.
Avec 18 pilotes femmes sur 148, cette édition bat des records en termes de diversité. Une belle évolution pour la course.
C’est vrai, la mixité progresse et c’est une excellente nouvelle pour le sport nautique.
Bravo pour cette initiative qui montre que la voile n’a pas de genre.
L’édition 2020 de la Transat Café L’Or promet d’être passionnante avec des conditions météo défiant les Ocean Fifty dès le départ. Les mariniers auront fort à faire pour maintenir leur position.
C’est effectivement une épreuve exigeante, mais les marins français ont l’habitude de se surpasser en mer.
Les conditions météo changent tout. Cela ajoute une dimension supplémentaire à la compétition.