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L’AVIS DU « MONDE » – POURQUOI PAS

Entre produits d’appel et produits dérivés. Deux films d’animation à destination du jeune public, Super Grand Prix, de Waldemar Fast, et Gabby et la maison magique, le film, de Ryan Crego, déclinent sur grand écran des univers préexistants. Deux propositions joyeuses et colorées qui voient de jeunes filles se confronter à la réalité de leurs aspirations d’enfant, invitation à ne rien céder de leur créativité et de leur imagination. Le tout au cœur d’œuvres qui peinent pourtant à dépasser le formatage pour lequel elles ont été conçues : asseoir des personnages lisses dont la machine fictionnelle doit jusqu’au bout entretenir les rêves. Si les deux longs-métrages jouent ainsi avec la peur de la déchéance de leur propre univers, c’est pour mieux la balayer.

Super Grand Prix est l’émanation de la famille Mack, à la tête d’Europa-Park, situé à Rust en Allemagne. Pour célébrer son 50e anniversaire, le deuxième parc d’attractions le plus visité en Europe ouvre cette année Grand Prix EDventure, une expérience immersive multimédia mettant en scène ses mascottes, Edda et Ed, au sein d’une écurie automobile. Attraction déclinée en un jeu vidéo et en un film d’animation.

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13 commentaires

  1. Louis N. Thomas le

    Un article intéressant sur la façon dont les parcs d’attractions étendent leur univers à d’autres médias. Europa-Park semble vraiment vouloir diversifier son offre.

  2. Le fait que ces films aient été conçus pour célébrer des anniversaires montre à quel point le marketing s’est infiltré dans le cinéma. Curieux de savoir comment cela influence la créativité.

  3. Ces deux films ont l’air très colorés et joyeux, parfaits pour un public jeune. Cependant, j’espère qu’ils ne sont pas trop formatés.

  4. Ces films d’animation semblent capturer l’esprit enfantin tout en abordant des thèmes universels. Intéressant de voir comment ils transposent des univers existants à l’écran.

    • Les enfants adoreront ces univers joyeux, mais j’espère qu’ils ne tombent pas dans le piège du simple divertissement sans profondeur.

  5. Claire Bernard le

    Un bon exemple de la façon dont les univers fictionnels peuvent inspirer d’autres formes de divertissement. J’attends de voir si ces films sauront captiver un public plus large.

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