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Pour son deuxième long-métrage, la comédienne et cinéaste explique pourquoi elle a encore opté pour l’autofiction.
Romane Bohringer, réalisatrice de « Dites-lui que je l’aime » : « J’ai du mal à m’autoriser à parler de choses que je n’ai pas vécues »
Par Salle de presse
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11 commentaires
Très intéressante cette approche de l’autofiction. On se demande jusqu’où s’arrête la fiction et où commence le vécu.
Les limites entre réel et imaginaire sont parfois floues, c’est ce qui rend l’œuvre fascinante.
C’est une question qui se pose souvent dans le cinéma d’auteur.
Très bon choix d’opter pour l’autofiction, cela montre une grande maturité artistique.
C’est effectivement un style courageux qui peut diviser.
Je trouve admirable qu’une actrice osent passer derrière la caméra. Peut-être pourrait-elle s’ouvrir plus sur ses sujets hors Cie ?
Certaines personnes ont besoin de rester dans leur zone de confort artistique.
On verra si ce film confirme son talent de réalisatrice ou si c’est un coup d’essai malheureux.
J’espère qu’elle continuera à explorer ce style. Son premier film était très personnel.
En tant que fan de son actrice, je suis curieux de voir comment ce film sera reçu.
L’autofiction peut être un moyen de se libérer d’une certaine manière. Je me demande comment elle gère les critiques.