Listen to the article
0:00
Cette technologie, qui s’appuie sur des images de vidéosurveillance analysées par des logiciels d’intelligence artificielle, a d’abord séduit des Etats autoritaires. Mais la reconnaissance faciale conquiert aussi progressivement les pays démocratiques. Avec quels garde-fous ? Eléments de réponse dans ce podcast avec Faustine Vincent et Simon Leplâtre, journalistes au service International du « Monde ».








9 commentaires
La technologie avance vite, mais les lois ne suivent pas. Les démocraties doivent agir maintenant avant qu’il ne soit trop tard.
Je reste sceptique sur l’efficacité réelle de la reconnaissance faciale. Elle crée surtout un faux sentiment de sécurité.
Intéressant d’entendre des experts discuter des implications de cette technologie. J’aimerais savoir quels pays démocratiques l’adoptent et avec quelles protections.
La reconnaissance faciale est un outil puissant, mais son utilisation par des régimes autoritaires soulève de graves questions éthiques. Comment garantir que cette technologie ne soit pas détournée contre les droits humains ?
Effectivement, la surveillance de masse pose problème. Les démocraties doivent absolument encadrer strictement son usage.
Dommage que l’article ne détaille pas plus les cas concrets d’abus. Des exemples précis seraient plus convaincants.
L’absence de détails permet peut-être de protéger des sources ou des victimes. Cela dit, un podcast aurait pu approfondir.
Peu importe les garde-fous, la reconnaissance faciale est une menace pour la vie privée. Ces systèmes finiront par être piratés, comme tout le reste.
Vous avez raison, la sécurité des données est un enjeu crucial. Mais peut-on vraiment se passer complètement de ces technologies ?