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Cinquante ans après les débuts de l’opération « Condor », qui visait l’élimination des opposants aux régimes en place en Amérique latine, l’ingérence de Washington sur le continent sud-américain revient sous un nouveau visage, analyse le chercheur Pablo Daniel Magee dans une tribune au « Monde ».








9 commentaires
Les États-Unis ont-ils vraiment besoin d’une nouvelle zone d’influence en Amérique latine ? Cela semble être une stratégiedépassée, surtout dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes.
Les intérêts économiques semblent toujours primer sur les principes démocratiques.
Est-ce que l’histoire ne se répète vraiment pas ?
L’Amérique latine est-elle un simple terrain pour les manipulations politiques et économiques ?
Malheureusement, il semble que les pays de la région soient souvent victimes de ces jeux de pouvoir.
Washington justifie toujours ses actions par des motifs de sécurité ou d’intention économique. Qui croit encore à ces arguments ?
Les preuves historiques montrent que ces justifications sont souvent des prétextes.
L’opération Condor a laissé des cicatrices profondes. Les nouvelles ingérences seront-elles moins violentes, mais tout aussi destructrices ?
Les méthodes peuvent changer, mais les objectifs restent les mêmes : le contrôle et l’exploitation.