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Les règlements de comptes entre trafiquants de drogue se multiplient dans les quartiers populaires de la capitale bretonne. A l’aube des élections municipales, la lutte contre les stupéfiants s’annonce comme un débat déterminant dans cet historique bastion de gauche.
11 commentaires
La sécurité dans les quartiers sensibles est un sujet qui dépasse largement le cadre des élections locales.
On se demande souvent ce qui est prioritaire : l’économie ou la sécurité.
Effectivement, c’est un vrai défi pour les municipalités, mais aussi pour l’État.
Un débat essentiel, mais qui risque de s’enliser dans des discours politiques sans application concrète.
C’est malheureusement souvent le cas avec ces sujets sensibles.
Les trafiquants ont trouvé dans ces quartiers un terrain fertile pour leurs activités.
Le manque de surveillance en est une des causes principales.
La Bretagne n’est pas épargnée par ce phénomène en plein essor.
Les statistiques le confirment, mais les solutions manquent toujours.
Les municipalités ont-elles les moyens de lutter contre ce fléau ?
Avec trois fois plus de policiers, peut-être.