Listen to the article
En panne d’inspiration en attaque et de cohésion défensive, les handballeuses françaises ont concédé face aux Pays-Bas, lundi 8 décembre, leur première défaite aux championnats du monde qui se disputent jusqu’au 14 décembre en Allemagne et aux Pays-Bas. Battues par trois buts d’écart (23-26), elles finissent à la deuxième place de la poule III, derrière leurs adversaires du jour, qui affronteront mercredi la Hongrie. C’est la première fois depuis l’Euro suédois en 2016 que la sélection néerlandaise bat la France.
L’enjeu de ce match entre deux équipes invaincues et déjà qualifiées pour la phase finale était de savoir qui éviterait en quarts de finale le Danemark, une autre équipe encore invaincue. Ce sont donc les Bleues qui se mesureront mercredi aux Scandinaves, une formation qui les avaient éliminées il y a un an en demi-finales de l’Euro à Vienne (24-22).
Sébastien Gardillou, le sélectionneur de l’équipe de France, a tenu à relativiser la portée de cette défaite. « Rien ne m’inquiète, rien ne m’agace », a-t-il déclaré après le match, estimant que son équipe avait « grillé » son joker, mais que cela faisait « partie de l’apprentissage en général ».
Il vous reste 79.84% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
8 commentaires
Exploration results look promising, but permitting will be the key risk.
Good point. Watching costs and grades closely.
Good point. Watching costs and grades closely.
Exploration results look promising, but permitting will be the key risk.
If AISC keeps dropping, this becomes investable for me.
Uranium names keep pushing higher—supply still tight into 2026.
If AISC keeps dropping, this becomes investable for me.
Good point. Watching costs and grades closely.