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L’équipe de France féminine de handball, qui affronte, vendredi 12 décembre (coup d’envoi à 17 h 45), l’Allemagne à Rotterdam (Pays-Bas) pour une place en finale du Mondial, compte sur Léna Grandveau (22 ans) et Clarisse Mairot (24 ans) pour percer l’acier d’outre-Rhin. La première, demi-centre de Metz, le club français le plus titré, s’était révélée en 2023 en finale des précédents championnats du monde, en inscrivant les quatre derniers buts du titre tricolore. La seconde, arrière gauche du Brest Bretagne Handball (BBH), l’autre poids lourd de la première division hexagonale, dispute son premier Mondial.
Malgré leur jeunesse et un gabarit modeste pour leur sport (1,71 m pour la première, 1,70 m pour la seconde), elles font partie des Françaises les plus décisives depuis le début de la compétition. « Ce sont des perforatrices, résume l’ancienne internationale Raphaëlle Tervel, désormais entraîneuse du BBH, qui a fait venir Clarisse Mairot dans le Finistère. Comme elles sont dangereuses, elles mobilisent les défenses, ce qui libère de l’espace pour le pivot ou les ailières. »
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20 commentaires
Pourquoi la taille est-elle moins importante au handball que dans d’autres sports collectifs comme le basket ?
La rapidité, la technique et l’intelligence tactique semblent primer sur la taille dans ce sport.
Ce match sera-t-il un bon indicateur des performances futures de l’équipe française ?
Si elles parviennent à se qualifier, cela pourrait confirmer leur potentiel et leur ascension.
Les performances de ces jeunes joueuses pourraient-elles influencer le recrutement dans le handball féminin en France ?
Sans doute, leur succès pourrait inspirer de jeunes athlètes à rejoindre ce sport et à viser l’excellence.
Les anciennes internationales comme Tervel jouent-elles un rôle clé dans le développement des jeunes talents ?
Apparemment, elles apportent leur expérience et leur sagesse, ce qui est précieux pour les nouvelles générations.
Le handball féminin français montre-t-il une tendance à miser sur des joueuses jeunes et techniques ?
Cela rappelle l’évolution du basketball américain, où la jeunesse et la mobilité dominent.
Oui, cette équipe semble privilégier la technique et la rapidité, plutôt que la force physique brute.
Pourquoi ces joueuses sont-elles surnommées « perce-murailles » ? Leurs stats confirment-elles cette réputation ?
Leur capacité à tromper les défenses et à marquer des buts cruciaux semble justifier ce surnom.
Comment l’Allemagne, réputée pour sa solidité défensive, pourrait-elle contrer l’attaque française ?
Elle devra sans doute taire ses joueuses offensives, mais avec des individuelles comme Grandveau, ce ne sera pas facile.
Quel rôle essentiel jouent ces jeunes joueuses pour l’équipe française ? Leur gabarit modeste compense-t-il leur manque d’expérience ?
Leur vivacité et leur capacité à déstabiliser les défenses adverses semblent compenser leur gabarit. Elles créent des opportunités pour leurs coéquipières.
Leur jeunesse pourrait être un atout : elles ont peut-être moins de pression et plus de spontanéité dans leur jeu.
Intéressant de voir comment des joueuses plus petites peuvent dominer le terrain. Elles doivent avoir un esprit de combat exceptionnel.
Absolument, leur détermination et leur technique doivent être impressionnantes pour percer les défenses adverses.