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Le dernier bilan dévoilé par les autorités marocaines fait état, lundi 15 décembre, de 37 morts en raison de crues soudaines à la suite de précipitations qui ont entraîné, dimanche, des inondations dans des habitations et des commerces. Il s’agit du plus lourd bilan pour des intempéries de ce type au Maroc depuis plus d’une décennie.
La province de Safi, située à environ 300 kilomètres au sud de Rabat, a été touchée par de « très fortes précipitations orageuses » ayant « provoqué des écoulements torrentiels exceptionnels » en l’espace d’« une heure », ont précisé les autorités locales.
Le parquet national a annoncé l’ouverture d’une enquête pour « déterminer les causes de cet incident tragique et en élucider les circonstances »











14 commentaires
Est-ce que les autorités marocaines ont déjà commencé à évaluer les dommages aux infrastructures essentielles comme les routes et les réseaux électriques ?
Les enquêtes sont en cours, mais il faudra probablement des jours, voire des semaines, pour évaluer pleinement l’ampleur des dégâts.
Une tragédie qui rappelle l’importance de la prévention. J’espère que d’autres pays tireront des leçons de cette catastrophe.
Ces inondations au Maroc montrent à quel point les catastrophes naturelles peuvent être dévastatrices, surtout dans les zones urbaines. Est-ce que les infrastructures locales étaient adaptées pour gérer de telles précipitations ?
Ça semble كلية que les infrastructures d’évacuation des eaux pluviales ont été dépassées, surtout avec une telle intensité en si peu de temps.
Toutes les régions du monde devraient renforcer leurs systèmes d’alerte précoce, surtout dans un contexte de changements climatiques.
Ces précipitations exceptionnelles soulèvent des questions sur l’impact du changement climatique. Peut-être que ces événements extrêmes deviendront plus fréquents ?
C’est malheureusement une tendance observable dans plusieurs régions, pas seulement au Maroc.
Un bilan tragique. Ces crues soudaines rappellent l’importance de la planification urbaine dans les zones exposées aux risques hydrologiques.
Exactement, et c’est un rappel pour d’autres pays d’investir dans des infrastructures plus résilientes.
Difficile de ne pas être touché par ces images. Est-ce que le Maroc a déjà fait face à des incidents similaires par le passé ?
D’après les autorités, c’est le bilan le plus lourd depuis des années, ce qui rend cette tragédie encore plus choquante.
Des inondations si brutales en si peu de temps, c’est effrayant. J’espère que les survivants reçoivent tout le soutien nécessaire.
Oui, la résilience des communautés locales sera cruciale dans les mois à venir.