Listen to the article

0:00
0:00

Pour accompagner notre série « Mon p’tit luxe » – ces plaisirs minuscules que s’accordent celles et ceux qui vivent au smic, ou juste au-dessus, malgré les sacrifices financiers que de tels écarts peuvent représenter –, nous avons rencontré Marie Fernandez, fondatrice de l’association Kalisi. Reconnue d’intérêt général, implantée à Montpellier et à Lyon, Kalisi aide des personnes qui travaillent mais n’arrivent plus à joindre les deux bouts. A la croisée de l’aide alimentaire, du soutien matériel et de l’accompagnement psychologique, l’association voit passer, chaque jour, des familles pour qui les « petits plaisirs » sont devenus un enjeu de survie sociale autant que de dignité. Certains des témoins que nous avons rencontrés pour cette série ont fait appel à l’association.

Vous recevez des personnes qui travaillent mais n’arrivent plus à vivre correctement. Qu’est-ce que cela dit de la situation actuelle ?

Il vous reste 82.56% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Partager.

Salle de presse de TheNews.re. Nous couvrons l'actualité réunionnaise et internationale avec rigueur et objectivité. Notre mission : informer les citoyens avec des analyses approfondies sur la politique, la société, l'économie et la culture.

18 commentaires

  1. C’est choquant de voir que malgré un travail régulier, certaines familles ne parviennent pas à vivre décemment. Cette situation reflète-t-elle une faille dans notre système économique ?

  2. Les associations comme Kalisi font un travail essentiel, mais pourquoi devons-nous en arriver là ? Ces problèmes sociaux ne font qu’empirer.

  3. Quel contraste entre ceux qui parlent de pouvoir d’achat et ceux qui en souffrent réellement. Ces 200 ou 300 euros de plus par an peuvent changer une vie.

  4. Les témoignages de cette série montrent à quel point la dignité passe aussi par des petits plaisirs. Comment peut-on aider davantage ?

  5. Ces familles montrent qu’il est possible de travailler et d’avoir besoin d’aide. Le préjugé selon lequel les pauvres ne travaillent pas est infondé.

  6. Cette association prouve que le soutien matériel n’est qu’une facette de la solution. L’accompagnement psychologique est crucial.

Laisser une réponse