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A 18 ans, dans le petit village toscan de Pitigliano, Manuela Cesaretti se rêvait cardiologue. Le superpouvoir du bistouri, découvert durant ses premières années d’études de médecine en Italie, bouleverse sa vocation. « Un traitement médical peut mettre des mois à agir, le geste d’un chirurgien deux jours. J’ai d’emblée aimé l’immédiateté des résultats que je pouvais obtenir », se souvient celle qui opère désormais à Rome.

La jeune Manuela ne sait pas encore qu’une expérience angoissante avant ses 30 ans, alors qu’elle est interne à l’hôpital Beaujon (Clichy, Hauts-de-Seine, AP-HP), va lui faire imaginer une solution innovante afin d’améliorer radicalement la transplantation de foie. Cela sans bistouri, avec un seul smartphone et un algorithme d’intelligence artificielle (IA).

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12 commentaires

  1. Antoine Moreau le

    Une utilisation novatrice de l’IA dans le domaine médical, c’est impressionnant. J’aimerais en savoir plus sur les détails techniques de son algorithme.

  2. Antoine Dubois le

    L’IA va-t-elle remplacer tous les médecins à terme ? Dommage de penser que les greffes pourraient ne plus nécessiter de chirurgiens.

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