Listen to the article
Safi, cité portuaire du Maroc, située à environ 300 kilomètres au sud de Rabat, a été touchée, dimanche 14 décembre, par de violentes précipitations orageuses. En l’espace d’une heure, des écoulements torrentiels ont déferlé sur la ville, causant la mort de 37 personnes et faisant sept blessés. Le lendemain, l’eau refluait et les habitants commençaient à nettoyer leurs logements et commerces, tandis que les autorités déblayaient les gravats des rues.
Il vous reste 0% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.








17 commentaires
On parle de plus en plus de risques climatiques. Les côtes sont-elles suffisamment protégées face à ce type d’événements ?
C’est une question cruciale, surtout dans les zones urbaines comme Safi.
Je me demande comment les habitants vont se reconstruire après un tel drame. Beaucoup doivent être traumatisés.
La résilience est une force, mais la solidarité locale et internationale sera nécessaire.
Hélas, ces catastrophes naturelles ne semblent pas ralentir. Quelles mesures préventives pourraient être mises en place ?
Des systèmes d’alerte plus rapides et une meilleure gestion des espaces urbains seraient un bon début.
Toucher le cœur de la ville en si peu de temps, c’est un vrai désastre. Ça donne une idée de l’intensité des pluies.
Exactement, les autorités doivent tirer des leçons pour éviter une répétition.
C’est terrible de voir tant de vies brisées en un instant. Les familles des victimes méritent notre soutien.
Totalement d’accord, le soutien psychologique et matériel est essentiel après un tel choc.
Les images sont impressionnantes. Comment est-ce possible qu’une telle catastrophe ait pu se produire en si peu de temps ?
Le phénomène semble avoir été brutal, comme souvent avec les pluies torrentielles.
Quel drame pour les habitants de Safi. J’espère que les secours sont arrivés rapidement pour aider les sinistrés.
C’est choquant. Les infrastructures d’évacuation des eaux doivent être renforcées.
Oui, c’est une tragédie. Les inondations semblent de plus en plus fréquentes ces dernières années.
Ces inondations rappellent l’importance d’investir dans des infrastructures plus robustes et durables.
Absolument, surtout dans des zones aussi vulnérables comme les côtes.