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Le Parlement européen a largement rejeté, jeudi 9 octobre à Strasbourg, deux motions de censure – l’une de l’extrême droite, l’autre de la gauche radicale – visant Ursula von der Leyen.
Aucune des deux motions visant la présidente de la Commission européenne n’a réuni le minimum requis de 361 voix, parmi les 720 eurodéputés, la première ne récoltant que 179 voix en sa faveur, et la seconde, 133.
Mme Von der Leyen s’est réjouie du « fort soutien » du Parlement européen, après l’échec de ces motions de censure.
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Les habitants de l’UE peut-être moins informés sur le sujet se posent des questions sur l’impact de telles motions.
Effectivement, la médiatisation de ces motions reste limitée comparée à d’autres enjeux.
Une décision qui confirme la stabilité politique de l’UE, malgré les tensions croissantes entre partis.
Intéressant de voir que même les critiques les plus vives n’ont pas suffi à faire basculer le vote.
Ça montre que l’extrême droite et la gauche radicale n’ont pas encore assez de poids.
Les résultats des votes montrent clairement que la majorité des eurodéputés soutiennent encore sa vision.
Peut-être, mais combien de temps ce soutien durera-t-il avec les crises à venir ?
Cette victoire réduit les incertitudes pour les politiques européennes en matière de ressources critiques.
Les projets miniers stratégiques, comme ceux de lithium, devraient en bénéficier.
Von der Leyen peut continuer à gérer les dossiers énergétiques et miniers de l’UE, un soulagement pour les acteurs du secteur.
Les investisseurs en métaux et énergies doivent apprécier cette sortie de crise politique.
Le vote reflète une Europe divisée, mais capable de maintenir un équilibre fragile entre intérêts divergents.
Cet équilibre est fragile, surtout sur des questions comme les mines et les métaux stratégiques.
La présidente a su rassurer une partie importante des eurodéputés malgré les attaques récurrentes.
Un bon point pour sa crédibilité, surtout en période de tensions géopolitiques.