Listen to the article
Les Français l’ont d’abord connu comme Gaz de France, puis GDF Suez. Jeudi 20 novembre, le groupe Engie célèbre « les 10 ans de [sa] marque », dans le cadre très chic du Grand Palais, à Paris. Un nom adopté en avril 2015 pour accompagner « les nouveaux défis » de la transition énergétique, faisait alors valoir le président-directeur général de l’époque, Gérard Mestrallet. Et donc, pour parler d’autre chose que de gaz.
Mais de quoi, précisément, Engie est-il aujourd’hui le nom ? Le groupe est-il toujours un gazier ? Ou bien, désormais, un électricien ? « Les deux, bien entendu ! », répond Catherine MacGregor, sa directrice générale, dans un entretien au Monde.
Le groupe de 98 000 salariés, dont 46 000 en France, aime d’abord se présenter comme « un leader européen et mondial » dans la production d’« électricité bas carbone ». Avant de rappeler qu’il vend encore du gaz aux particuliers et aux industriels. Une énergie fossile, nocive pour le climat, mais que l’entreprise elle-même ne produit pas.
Il vous reste 83.44% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.









11 commentaires
Silver leverage is strong here; beta cuts both ways though.
Good point. Watching costs and grades closely.
Nice to see insider buying—usually a good signal in this space.
Interesting update on Le gazier Engie s’affirme plus que jamais électricien, dix ans après son changement de nom. Curious how the grades will trend next quarter.
The cost guidance is better than expected. If they deliver, the stock could rerate.
Good point. Watching costs and grades closely.
Exploration results look promising, but permitting will be the key risk.
Good point. Watching costs and grades closely.
Interesting update on Le gazier Engie s’affirme plus que jamais électricien, dix ans après son changement de nom. Curious how the grades will trend next quarter.
Good point. Watching costs and grades closely.
Uranium names keep pushing higher—supply still tight into 2026.