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Toute la gauche, la droite et l’extrême droite ont rejeté le texte, tandis que le MoDem et une majorité des députés Renaissance se sont abstenus.
Toute la gauche, la droite et l’extrême droite ont rejeté le texte, tandis que le MoDem et une majorité des députés Renaissance se sont abstenus.
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14 commentaires
Pas surprenant que la gauche et l’extrême droite rejettent le projet, mais voir la droite majoritaire s’y opposer également, c’est assez inédit.
Cela pourrait bloquer des réformes essentielles pour les secteurs miniers et énergétiques.
On parle beaucoup des impacts économiques, mais qu’en est-il des projets de transition énergétique prévus dans ce budget ?
Avec ce rejet, certains acteurs du nickel ou du cuivre pourraient voir leurs plans retardés.
La rejet d’un budget d’Etat est un événement rare. Espérons que cela ne freine pas les investissements miniers et technologiques nécessaires à la souveraineté énergétique.
Effectivement, les secteurs critiques comme le lithium ont besoin de stabilité politique.
Intéressant de voir comment les partis ont voté. Cela met en lumière les priorités de chacun, mais aussi les failles potentielles pour les métaux stratégiques.
Ce vote montre une fracture majeure au sein de l’Assemblée. Comment convaincre les parlementaires d’avancer dans des secteurs comme l’uranium ou le lithium ?
Il faudrait peut-être mieux communiquer sur les enjeux industriels et énergétiques.
Le MoDem et Renaissance semblent jouer la prudence avec leur abstention. Serait-ce pour ne pas affaiblir davantage le gouvernement ?
C’est une stratégie assez logique, mais cela ne résout pas le problème du financement de projets stratégiques.
La quasi-unanimité contre ce budget est un signal fort. On peut se demander quelles conséquences cela aura sur les projets miniers et énergétiques prévus dans ce cadre.
Les investissements dans les métaux critiques comme le lithium ou le cuivre en dépendent peut-être plus qu’on ne le pense.
Surtout si les budgets des ministères concernés sont revus à la baisse.