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Ce n’est un secret pour personne : le rêve de tout basketteur est de fouler, un jour, les parquets de NBA, la prestigieuse ligue nord-américaine. « C’est l’objectif ultime », confirme Joan Beringer. Sélectionné par les Minnesota Timberwolves lors de la draft 2025 – cette sorte de bourse aux jeunes joueurs –, le pivot alsacien de 18 ans évoluera aux côtés de son compatriote Rudy Gobert lors de la saison 2025-2026, que la franchise de Minneapolis commence, mercredi 22 octobre, face aux Portland Trail Blazers.

Joan Beringer est l’un des six Français choisis par une équipe NBA cet été, reflet de la richesse du vivier national. Cependant, sa présence outre-Atlantique relève presque de l’irrationnel puisqu’il a commencé à pratiquer le basket sur le tard… il y a seulement quatre ans.

Pendant longtemps, en effet, le natif de Sélestat (Bas-Rhin) n’a juré que par le football. Grand et rapide, il occupait le poste d’attaquant et marquait même, à l’en croire, « beaucoup de buts ». Puis sa croissance est devenue un problème : « Il n’y avait plus de crampons au-dessus de 50 de pointure », explique l’intéressé au Monde.

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11 commentaires

  1. Un parcours qui rappelle celui d’autres sportifs atypiques. J’espère qu’il saura faire ses preuves malgré son manque d’expérience.

  2. Antoine Martin le

    C’est fascinant de voir comment les définitions et parcours évoluent dans le sport moderne. Reste à voir comment il va performer en NBA.

  3. C’est un bel exemple de persévérance, mais je suis sceptique sur sa capacité à s’imposer en NBA, une ligue si compétitive.

  4. Une histoire incroyable ! Quatre ans pour atteindre la NBA, c’est un parcours vraiment impressionnant. Ça donne envie de croire en ses rêves, même en démarrant tard.

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