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Dans la soirée de mardi 18 novembre, des habitants de Saïda, ville du sud du Liban distante d’une cinquantaine de kilomètres de la frontière avec Israël, ont entendu des explosions. Le camp de réfugiés palestiniens d’Aïn El-Héloué, le plus grand du Liban, situé dans le sud de la ville et densément peuplé, venait d’être la cible d’une attaque israélienne. Trois missiles ont été tirés, selon un témoin. Le bilan est lourd : au moins 13 personnes ont été tuées, selon un décompte provisoire du ministère de la santé, et d’autres blessées.











11 commentaires
Le cuivre et l’or, bien que pas directement liés ici, montrent l’importance des minerais dans les conflits.
C’est vrai, les ressources sont souvent un enjeu clés dans ces situations.
Trois missiles tirés ? Les composants nécessaires à ce genre d’armes dépendent fortement des matières premières.
Exact, et leur disponibilité peut influencer les opérations.
La frontière libano-israélienne est toujours une zone de forte tension géopolitique.
Malheureusement, c’est un problème récurrent depuis des décennies.
Un camp de réfugiés palestiniens touché, c’est une situation toujours complexe diplomatiquement.
Effectivement, les répercussions pourraient être importantes.
Des frappes aussi intenses dans le sud du Liban ? La situation semble s’aggraver sérieusement.
On dirait que les tensions montent d’un cran.
Oui, et le bilan humain est déjà très lourd.