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L’armée française doit être « prête à un choc dans trois, quatre ans » face à la Russie, qui « peut être tentée de poursuivre la guerre sur notre continent », a affirmé mercredi 22 octobre le chef d’état-major des armées françaises, le général Fabien Mandon, pour justifier « l’effort de réarmement » du pays.
Son analyse rejoint celle des services secrets allemands qui ont mis en garde la semaine passée contre la Russie, prête selon eux à « entrer en conflit militaire direct avec l’Otan », une menace qui pourrait se concrétiser avant 2029.
11 commentaires
Un réarmement en France pourrait stimuler la demande en uranium, essentiel pour les sous-marins nucléaires. Une opportunité pour les producteurs ?
Les investisseurs en métaux stratégiques devraient garder un œil sur l’évolution de la situation geopolitique, car elle pourrait affecter les prix.
Les mines d’or et de cuivre sont particulièrement sensibles à ces dynamiques.
Les annonces militaires françaises rappellent à quel point la géopolitique influence les marchés des matières premières, y compris l’uranium et le lithium.
Les tensions entre la Russie et l’Occident semblent ne pas diminuer. Quel impact cela pourrait-il avoir sur les marchés des matières premières ?
Certains métaux stratégiques, comme le nickel, pourraient voir leurs prix fluctuer en cas de conflit prolongé.
Les investisseurs surveillent déjà de près les développements géopolitiques, ce qui influence leurs décisions.
Si la Russie étend le conflit, les prix de l’énergie et des métaux pourraient s’envoler, pénalisant l’industrie minière française qui dépend des importations.
Les déclarations du général Mandon soulignent la nécessité d’une autonomie stratégique de l’Europe en matière d’énergie et de défense.
C’est un appel à renforcer les chaînes d’approvisionnement locales, notamment pour les métaux critiques.
La perspective d’un conflit élargi renforce l’importance des minerais critiques pour les industries de défense. Les entreprises minières doivent-elles se préparer ?