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La Convention sur le commerce international des espèces menacées, qui s’ouvre le 24 novembre en Ouzbékistan, pourrait recommander l’interdiction de l’exploitation du pernambouc, un bois utilisé dans la fabrication des archets depuis des siècles.
7 commentaires
C’est une nouvelle préoccupante pour les artisans, mais aussi pour les musiciens qui dépendent de la qualité unique du pernambouc.
Les conventions internationales peuvent-elles vraiment sauver les forêts brésiliennes sans mesures locales efficaces ?
Justement, des solutions alternatives existent déjà, mais elles coûtent souvent plus cher et ne reproduisent pas les qualités acoustiques du bois.
Un dilemme complexe entre préservation de l’environnement et tradition artisanale.
Oui, il faudrait peut-être repenser l’utilisation de ce bois tout en valorisant d’autres ressources locales.
Une discussion importante sur les ressources naturelles et leur durabilité.
Mais comment concilier cela avec le patrimoine culturel que représente l’archet traditionnel ?