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Six juges et trois procureurs de la Cour pénale internationale ont été placés sous sanctions par l’administration Trump. Dans un entretien au « Monde », le magistrat raconte le poids de ces mesures sur son travail et son quotidien.








16 commentaires
Une approche plus pragmatique serait nécessaire pour régler ce conflit diplomatique.
Mais jusqu’à présent, les solutions semblent lointaines.
Les États-Unis montrent une fois de plus leur mépris pour les institutions internationales.
Cette attitude pourrait affaiblir la coopération mondiale en matière de justice.
Le tribunal de La Haye doit se préparer à d’autres pressions si ces sanctions persistent.
C’est un défi de plus pour une institution déjà sous tension.
Quels outils reste-t-il aux juges pour contester ces mesures ?
Interdits bancaires, ces juges font face à des défis immenses dans leur travail quotidien.
Les sanctions internationales ont des répercussions bien au-delà des frontières politiques.
La CPI a besoin de soutien pour résister à ces pressions politiques.
C’est un test pour la communauté internationale.
Comment les juges de la CPI peuvent-ils encore exercer leurs fonctions dans ces conditions ?
Cela soulève des questions sur la viabilité à long terme de la CPI sous ces restrictions.
C’est une situation préoccupante pour l’indépendance de la justice internationale.
Effectivement, ces mesures pourraient décourager d’autres magistrats d’occuper ces postes.
Ces sanctions rappellent l’importance de défendre les droits humains, même face aux puissances,