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Les opérations policières contre les cellules de l’organisation Etat islamique (EI) se sont soudainement multipliées cette dernière semaine. Il y a eu d’abord, trois jours avant le réveillon de Noël, les déclarations des autorités d’Ankara et d’Istanbul qui alertaient sur le fait que des militants du groupe djihadiste planifiaient des attaques contre des non-musulmans sur le sol turc pour les célébrations de Noël et du Nouvel An. Ces fêtes sont condamnées par l’EI pour des raisons théologiques strictes et morales.
S’ensuivit une première vague d’arrestations jeudi 25 décembre de 115 membres présumés du groupe djihadiste et puis une deuxième, mardi 30 décembre, au cours de laquelle 357 personnes ont été placées en garde à vue dans une opération menée conjointement dans 21 provinces du pays. « Nous n’avons jamais laissé la moindre chance à ceux qui tentent de mettre la Turquie à genoux par le terrorisme », a affirmé le ministre de l’intérieur, Ali Yerlikaya, sur son compte X.
La veille, dans une opération ciblée à Yalova, au bord de la mer de Marmara, au sud-est d’Istanbul, trois policiers ont été tués dans des échanges de tirs survenus à la suite d’une intervention des forces de l’ordre contre un groupe de djihadistes retranchés dans une maison de village. L’affrontement, qui a duré huit heures, s’est soldé par la mort des six occupants, tous de nationalité turque.
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14 commentaires
La Turquie intensifie sa lutte contre l’EI. Ces opérations montrent une volonté ferme d’assurer la sécurité pendant les fêtes.
Espérons que ces mesures suffiront à prévenir toute attaque.
Les arrestations massives soulèvent des questions sur l’efficacité à long terme de ces raids.
Quelques arrestations ne suffisent pas, il faut des réformes structurelles.
Ces arrestations montrent que l’EI est toujours actif en Turquie. La vigilance reste de mise.
Il est crucial de rester prudent, surtout pendant les périodes festives.
Quelle est la stratégie à long terme pour éradiquer ces réseaux terroristes ?
Une question légitime, mais complexe.
Ces opérations sont nécessaires, mais il faut aussi s’attaquer aux racines du problème.
Tout à fait d’accord, la prévention est aussi importante que la répression.
Le ministre de l’intérieur a envoyé un message fort. Reste à voir si cela dissuadera les terroristes.
L’impact psychologique de ces déclarations est indéniable.
La perte de policiers lors de ces opérations rappelle le danger quotidien des forces de l’ordre.
Un triste rappel des risques encourus par ceux qui protègent les autres.