Listen to the article

0:00
0:00

Le film figurait fin novembre parmi les plus visionnés sur Netflix. La romance Champagne Problems est à la boisson à bulles ce que fut la série Emily in Paris à la capitale française : une représentation aseptisée de ce vin effervescent, qui correspond à l’idée que veulent s’en faire les Américains qui visitent le 7e arrondissement de Paris ou les Relais & Châteaux de l’Hexagone.

Peu importent les qualités du film réalisé par Mark Steven Johnson, il entretient la légende du champagne, dont les Américains sont les deuxièmes consommateurs au monde, et il en rajeunit la légende. Car hormis un biopic féministe intitulé La Veuve Clicquot (Thomas Napper, 2024), les images hollywoodiennes sur le champagne commençaient à dater : c’était Humphrey Bogart dans Casablanca (Michael Curtiz, 1942) ou Marilyn Monroe dans Sept Ans de réflexion (Billy Wilder, 1955).

Il vous reste 89.19% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Partager.

Salle de presse de TheNews.re. Nous couvrons l'actualité réunionnaise et internationale avec rigueur et objectivité. Notre mission : informer les citoyens avec des analyses approfondies sur la politique, la société, l'économie et la culture.

11 commentaires

  1. Antoine Bernard le

    Dommage que l’article soit réservé aux abonnés. J’aurais aimé en savoir plus sur l’évolution de l’image du champagne au cinéma.

  2. Claire B. Dubois le

    Les Américains ont une relation particulière avec le champagne. Est-ce qu’ils en boivent autant pour l’image ou pour le goût ?

  3. Intéressant de voir comment Hollywood influence la perception du champagne. Est-ce que d’autres films récents ont eu un impact similaire sur d’autres produits de luxe?

Laisser une réponse