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« De manière inconsciente, je m’en suis toujours remis à Dieu. Quand j’étais petit, lorsque quelque chose me faisait vraiment envie, je lui demandais, en mon for intérieur : “Peux-tu m’aider là-dessus ?” Je ne le faisais pas souvent, mais j’ai souvenir que je recevais une réponse : d’une façon ou d’une autre, mon souhait paraissait avoir été entendu. Pourtant, j’ai grandi dans une famille qui ne s’intéressait pas à la religion : je n’ai pas reçu d’éducation à la foi et, à la maison, ce n’était pas la culture de croire en Dieu.
J’ai grandi à Saint-Quentin-en-Yvelines, près de Versailles. A l’adolescence, j’ai commencé à fréquenter un club de boxe où il y avait une grande diversité religieuse parmi les membres. Mes premières véritables conversations sur la religion, c’est vers l’âge de 14 ou 15 ans que je les ai eues. Je cherchais à savoir ce que Dieu était aux yeux de mes amis croyants, car je ne me retrouvais pas dans l’image décrite autour de moi – une sorte de monsieur barbu sur un nuage, qui dicte comment nous devons nous comporter. Cependant, leur vision était plus profonde et cela m’a questionné : je n’avais jamais entendu parler de Dieu ainsi.
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19 commentaires
Un témoignage poignant sur la quête spirituelle. Dommage que l’article soit incomplet, j’aurais aimé en savoir plus sur ses motivations.
C’est vrai, cela donne envie de lire la suite pour comprendre son parcours complet.
Intéressant de voir comment une expérience personnelle peut mener à une conversion. La religion est souvent le résultat de rencontres et de questionnements.
C’est effectivement un cheminement unique pour chacun.
Romain partage une expérience spirituelle fascinante. Son approche intuitive de la foi est inspirante, surtout dans un contexte où la religion n’était pas central dans son éducation.
C’est intéressant de voir comment ses interactions avec des gens de différentes croyances ont influencé sa compréhension.
La religion est souvent perçue de manière stéréotypée, comme le soulève Romain.
Je me demande comment sa vision de Dieu a évolué depuis son adolescence. La foi bahaïe apporte-t-elle des réponses à ses questionnements?
L’article ne le précise pas, mais cela serait riche de le savoir.
La spiritualité bahaïe est connue pour sa dimension unificatrice, ce qui pourrait correspondre à ses recherches.
Comment Romain a-t-il découvert la foi bahaïe ? Ses conversations avec des amis croyants ont dû jouer un rôle crucial.
Effectivement, les discussions en club de boxe semblent avoir été un déclic.
Le fait qu’il ait ressenti une réponse divine, malgré l’absence de cadre religieux, est remarquable. Cela pose la question de la spiritualité innée.
C’est vrai, cette connexion personnelle avec le divin est universelle.
La foi bahaïe est moins connue en France. Ce témoignage pourrait aider à mieux comprendre cette communauté.
Tout à fait, les médias devraient en parler davantage.
Romain décrit une religion profondément différente des stéréotypes. Cela montre que chaque croyance mérite d’être découverte sans préjugés.
C’est une leçon d’ouverture d’esprit.
Son histoire rappelle que la spiritualité peut émerger de différentes manières, même sans éducation religieuse.