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Le cinéaste revient, dans un entretien au « Monde », sur la genèse de son documentaire nommé à l’Oscar en 2024, qui lie les indépendances africaines au mouvement américain pour les droits civiques.
8 commentaires
Un film qui rappelle que l’histoire coloniale ne se limite pas aux livres d’histoire. C’est une bataille de mémoire qui se poursuit encore aujourd’hui.
Est-ce que le réalisateur évoque aussi les conséquences économiques contemporaines de cette période historique ? Ce serait intéressant pour la compréhension des dynamiques actuelles.
Le titre est intriguant, mais le sujet semble lourd. J’espère que le ton du documentaire réussit à équilibrer gravité et accessibilité pour un large public.
Je ne savais pas que ce film avait été nommé aux Oscars. Dommage qu’il n’ait pas eu plus de visibilité, surtout avec un sujet aussi riche et actuel.
Un documentaire qui semble essentiel pour comprendre les relations complexes entre la Belgique et le Congo. J’aimerais le voir, même si je crains qu’il ne fouaille quelques plaies historiques.
Fascinant de voir comment les mouvements de libération africains et les droits civiques américains sont interconnectés. Quand un documentaire peut ouvrir de nouvelles perspectives sur l’histoire coloniale, c’est une œuvre précieuse.
Les liens entre les indépendantises africaines et les luttes américaines pour les droits civiques sont souvent méconnus. Ce film semble comblé cette lacune de manière artistique.
J’aurais aimé entendre plus de perspectives africaines dans cet article. Leur voix est cruciale pour un sujet aussi sensible.