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A la tête de ce festival depuis 2011, Jean Varela explique, dans un entretien accordé au « Monde », pourquoi il ne prendra pas la direction générale de la Cité européenne du théâtre et des arts associés-Domaine d’O, un établissement public de coopération culturelle créé en janvier 2025.









10 commentaires
La création de la Cité européenne du théâtre et des arts associés est une initiative pertinente, mais son modèle économique reste flou. Comment financera-t-elle ses ambitions ?
C’est une question cruciale, surtout dans un contexte où les subventions publiques sont de plus en plus incertaines.
Étonnant que ce directeur mise sur une approche plus qualitative que quantitative. Sera-t-il suivi par ses pairs ?
Un entretien qui interroge la pertinence des festivals dans la programmation culturelle. La concurrence entre ces événements devient-elle contre-productive ?
Intéressant de voir un directeur de festival remettre en question la logique actuelle des événements culturels. Une réflexion nécessaire sur l’essoufflement des festivals.
Tout à fait, mais comment concilier cette remise en question avec le besoin de visibilité des artistes ?
Jean Varela semble regretter l’hyper-productivité culturelle. Un point de vue que partagent de nombreux artistes, mais difficile à mettre en pratique.
D’autant plus que les festivals sont souvent un outil de rayonnement économique pour les territoires.
La furia festivalière évoquée par Varela n’est-elle pas le reflet d’une société en quête perpétuelle de nouveauté et de diversion?
Refuser une direction générale prestigieuse pour rester sur ses convictions mérite du respect. Un choix rare dans un milieu où carriérisme et opportunisme sont souvent présents.