Listen to the article
0:00
« 1975-1976, les années “classées X” » (1/6). Il y a tout juste un demi-siècle, au terme de plusieurs mois de polémiques, entrait en vigueur un nouveau dispositif fiscal concernant les films à caractère pornographique.









16 commentaires
Un article passionnant sur une époque où le porno était encore un tabou. On s’étonne de l’ampleur des débats.
On oublie trop vite à quel point certaines formes de censure étaient acceptées.
Aujourd’hui, le sujet est plutôt traité comme un marché économique.
Un article qui rappelle l’émergence d’une industrie qui a depuis bien évolué. Les régulations étaient-elles adaptées ?
Difficile à dire, mais l’évolution du secteur prouve que les lois ne restaient pas figées.
La lutte contre la « marée noire pornographique » montre à quel point la culture était un enjeu politique il y a 50 ans.
On ne voit plus vraiment ce genre de débats aujourd’hui. Les priorités ont changé ?
Bien que le sujet soit éloigné des questions économiques traditionnelles, il est fascinant de voir comment l’État agissait sur ce secteur.
Toutes les industries peuvent être influencées par la politique, même celles qu’on imagine moins régulées.
Intéressant de voir comment la fiscalité a pu influencer l’industrie du cinéma à l’époque. Peut-être une leçon pour aujourd’hui?
Effectivement, les politiques peuvent avoir un impact durable sur les secteurs créatifs.
Je me demande quels autres domaines artistiques ont été touchés par ces mesures.
50 ans plus tard, les films classés X ne font plus autant de vagues. Les mentalités ont progressé ou c’est l’effet du temps ?
Un peu des deux, sans doute, entre libéralisation et banalisation.
Le ministre Guy avaitcertainement un rôle difficile à jouer entre la liberté artistique et la morale publique.
Un équilibre délicat, effectivement, entre censure et ouverture.